Vous avez peut-être entendu parler de la récente acquisition de Twitter par Elon Musk, le célèbre fondateur de Tesla et SpaceX. Mais savez-vous comment cette opération s’est déroulée ? Et comment c’est de discuter avec l’un des hommes les plus influents et controversés de la planète ? Je vais vous raconter mon expérience unique en tant que journaliste qui a eu l’opportunité d’interviewer Elon Musk en exclusivité, James Calyton, journaliste technologique.
Un coup de fil inattendu
Tout a commencé par un coup de fil inattendu. Un jour, alors que je travaillais sur un article sur l’avenir de la voiture électrique, mon téléphone a sonné. C’était un numéro inconnu, mais j’ai décroché par curiosité. À l’autre bout du fil, une voix familière m’a salué : « Bonjour, c’est Elon Musk ». J’ai cru à une blague, mais il a vite dissipé mes doutes en me parlant de mon travail et de mes articles. Il m’a dit qu’il appréciait ma plume et ma vision, et qu’il voulait me parler de quelque chose d’important.
Il m’a alors révélé qu’il était sur le point de racheter Twitter, le réseau social qu’il utilise fréquemment pour communiquer avec ses fans et ses détracteurs. Il m’a expliqué qu’il voulait faire de Twitter une plateforme plus innovante, plus positive et plus engagée. Il m’a dit qu’il avait besoin de mon aide pour annoncer la nouvelle au monde entier, et qu’il voulait me donner l’exclusivité de l’interview. J’étais stupéfait, mais aussi flatté et intrigué. J’ai accepté sa proposition, et il m’a donné rendez-vous le lendemain dans son bureau à Los Angeles.
Voici une vidéo en anglais relatant cette interview :
Une rencontre fascinante
Le lendemain, je me suis rendu à l’adresse indiquée par Elon Musk. C’était un immeuble moderne et élégant, où se trouvaient les bureaux de The Boring Company, sa société de tunnels souterrains. J’ai été accueilli par une assistante qui m’a conduit jusqu’à son bureau. En entrant, j’ai été surpris par la simplicité des lieux. Pas de décoration extravagante ni de gadgets futuristes, juste un bureau en bois, un ordinateur portable et quelques livres. Elon Musk était assis derrière son bureau, souriant et détendu. Il s’est levé pour me saluer et m’a invité à m’asseoir.
Nous avons commencé à discuter de Twitter et de ses projets pour le réseau social. Il m’a dit qu’il voulait le transformer en un outil d’éducation, d’inspiration et d’action. Il m’a parlé de ses idées pour améliorer la qualité du contenu, lutter contre la désinformation et la haine, et encourager les utilisateurs à s’impliquer dans des causes qui leur tiennent à cœur. Il m’a aussi confié qu’il voulait créer une fonctionnalité qui permettrait aux utilisateurs de voter sur les décisions importantes de la société, comme une sorte de démocratie participative.
Un échange stimulant
Au fur et à mesure de l’interview, j’ai découvert un Elon Musk différent de l’image que les médias renvoient souvent. Loin d’être arrogant ou provocateur, il était humble et sincère. Il reconnaissait ses erreurs et ses échecs, mais aussi ses réussites et ses ambitions. Il se montrait curieux et ouvert d’esprit, me posant des questions sur mon parcours et mes opinions. Il faisait preuve d’humour et d’autodérision, n’hésitant pas à rire de lui-même ou à faire des blagues.
J’ai été impressionné par sa vision et sa passion pour Twitter et pour l’humanité en général. Il m’a fait part de ses rêves les plus fous, comme coloniser Mars ou fusionner l’homme et la machine.